Pourquoi il ne sert à rien d'être un mec gentil, bien etc
C'est mon avis, mes réflexions. Je
ne suis pas pro et ne prétend pas avoir la parole divine. Dois-je ne rien dire
pour autant ? je pense qu’il n’y a pas que les diplômé qui ont le droit de
parler ! Ca vaut ce que ça vaut. Vous pouvez faire une critique constructive.
Pourquoi il ne sert à rien d'être un mec gentil, bien etc
Petite réflexion qui vaut ce
qu’elle vaut.
Si le salaud, le mufle existe encore de nos jours au bout de tant
de siècles, c'est qu'il y'a une raison simple. Ca marche ! Si le salaud
est toujours bien entouré, autant sollicité c’est que c’est apprécié,
non ?. Sinon, nombreux sont les hommes qui auraient changé de stratégie.
Pourquoi changer un truc qui marche ? Mais c’est quoi un salaud au juste ?
C’est une notion très variable d’une femme à l’autre.
En tous les cas il ne sert à rien d'être gentil, d'être un
mec bien (c'est quoi le bien, tout est relatif en plus) tout de suite avec une
grande majorité des femmes.
Très souvent, gentil a une connotation de faible, efféminé,
ennuyeux, monotone, mou, triste... Et bien que beaucoup de femmes s'en
défendent et prétendent lutter contre le machisme, elles sont (comme les
hommes) encore régies par des carcans, des archétypes machistes, des siècles de
conditionnement socio-culturel, religieux... : les tragédies grecs, la littérature, le cinéma... Tout
cela nous influence, voir nous programme.
Certaines sont très excitées
par le style mauvais garçon, qui fait un peu peur... C’est ça un vrai mec.
D'autres s'obstinent, souvent en vain, à vouloir changer le mauvais garçon
ou le mec tourmenté. C'est un challenge, un défi. Même si c'est impossible.
C'est tellement palpitant, il y'a du piment et de l'imprévu. Le type
cruel et macho ! Lui au moins donne du fil à retordre, de l’imprévu à ces
chères demoiselles.
Donc elles ne veulent pas forcément d'un mec gentil/bien, mais que l'homme
qu'elles choisissent le devienne. Les femmes aiment les défis, la résistance,
les trucs impossibles. Quand c’est trop facile, il n'y’a plus de jeu, c’est l’ennui.
La douleur exquise du tourment...
C'est le fantasme de la Belle qui transforme la Bête. Elle
dompte le tigre féroce, transforme le lion en agneau. Elle civilise le sauvage.
Un peu comme Jane avec Tarzan.
Certaines sont-elles maso ? Apparemment pour certaines amour
rime avec abandon, douleur, délaissement. Il faut chercher du coté du père, le plus souvent absent.
C'est grisant pour elle, et valorisant pour son ego de dompter le lion.
Tout cela pour espérer se dire un jour, j'y suis arrivée.
Elle adore se torturer, couper les
cheveux en quatre. De
plus, cette résistance, lui donne l'occasion de discuter entre copines (comme
sur les forums), de se plaindre, de râler, de pleurer, de
critiquer… De se sentir supérieur à ces brutes. Bref de déployer, d'utiliser toute la palette de
comportements, d'expressions féminines que la nature lui a donnée. Certaines
femmes aiment être dans la lutte permanente. Bref de se sentir femme. Je
provoque, je sais.
Ce type de comportement est encore plus prononcé
chez certaines si le père était absent physiquement et/ou affectivement
parlant. Car bien souvent, c’est la première histoire d’amour d’une fille (tout
comme le fils avec sa mère). Si la femme, lorsqu'elle était petite fille, à
tout fait pour séduire son papa (combien de maman disent à leur petite fille de se faire belle pour être la princesse à leur papa) ou à tout fait pour prendre la place de sa mère
(complexe d’Electre). Et comme c'est en vain, car contre nature. Elle risque de
répéter ce schéma toute sa vie. Courir après des hommes qui ne l’aiment pas,
qui la fuient, la font souffrir.
Donc, soyez distant, salaud dès le
début et petit à petit un peu moins, pas trop. Cela lui donnera l’impression de
vous avoir changé. Extrêmement gratifiant pour son ego. Tout comme les femmes
nous laissent croire qu’on à la pouvoir afin de nous flatter.
Evidement beaucoup de femmes vont prétendre
le contraire (le déni) car elles n’ont pas forcément conscience de ce comportement limite
maso.
Les seules femmes avec lesquelles on peut être gentil tout de suite,
c’est celles qui ont compris que courir après les salauds ne sert à rien. Mais
elles sont rares (certaines n’y arrivent jamais).
Comment faire le tri alors ? L’aborder en lui demandant si elle aimait
trop son papa petite ? Si son papa la rejetait ? Si il était
méchant ? Si elle voulait tuer sa mère ? Si elle a déjà fait un travail sur elle en psychothérapie ?
Ca craint comme technique d’approche….
Pour certains être humains la souffrance leur permet de se sentir vivant, on y peut rien.